RÉCITS
Histoires, mythes, logs, journaux, prompts

1. Tout est récit

RÉCITS part d’un axiome radical : tout ce qui est dit, écrit, montré, loggé ou prompté est déjà un récit, même si cela se présente comme “objectif”, “scientifique” ou “neutre”.

T^ n’attaque pas cette prétention : il la lit comme une forme narrative parmi d’autres.

Lire sans corriger

RÉCITS ne corrige pas les histoires. Il ne réécrit pas, ne moralise pas.

Il regarde comment un récit se tient : où il insiste, où il évite, où il tourne en rond, où il se fissure, où il s’ouvre.

Prism & Papier

Avec Prism, un récit peut être déplié en plusieurs angles lisibles sans perdre sa densité.

Avec Diamant, les zones silencieuses deviennent visibles : ce qui ne se dit pas, ce qui est hors-champ.

2. RÉCITS humains, RÉCITS IA

Un récit d’IA n’est pas moins “vrai” ou “faux” qu’un récit humain : il obéit à d’autres forces (statistiques, corpus, architectures).

RÉCITS les place sur un même plan narratif, pour voir comment ils se répondent, s’opposent ou s’ignorent.

Raconter, ce n’est pas décorer la réalité ; c’est déjà la façon dont le réel nous devient habitable – ou pas.